Deux présences silencieuses, quasi immobiles se montrent.
Une femme – un homme. Chacun nu, assis sur une chaise, sur la même ligne. Les traits de leur visage sont occultés dans une absence totale de distinction identitaire : une face sans caractère, sans signes distinctifs, un effacement.
Alors, l’œil refoulé dans son besoin de reconnaissances de visage se dirige vers le corps – puisque lui, est à nu. Puisque lui, montre tout de lui, simplement, sans artifices.