Dans le titre de sa dernière pièce, Le moulin des tentations, Maxence Rey aime souligner un travail sur la matière brute, le fait de la broyer, la raffiner, la réduire à un tout autre état que ce qu’elle était au départ, et pourtant toujours en lien avec cette matière d’origine.
On voudrait écrire ici un article extrêmement simple, bref, qui fasse écho à cette intention, tellement proche de ce qu’on éprouve, en effet, au vu de l’action du plateau ; qui y parvient, sans que cela n’ait rien d’évident au départ.
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